Today, we're 14th July. It's our day. [Jenna, my sweet love.]

Non, ceci n'est pas un rp. Ceci ne recevra pas de réponses en tant que rp. Ceci, c'est ma surprise, ce sont mes sentiments. Voilà en deux textes les deux moments importants du début de notre relation où je me met a nu (sans mauvais jeu de mots) pour que tu sache exactement ce que j'ai ressenti.

Le jour où je t’ai vue.

On était au début de l'été, les températures étaient encore inconfortables, mais le soleil brillait. Il y avait du vent, les arbres bougeaient et faisaient du bruit. Les oiseaux n'osaient pas trop se montrer, mais il chantaient pour prévenir du beau temps. J'étais assis sur un banc, un bonnet bien enfoncé sur la tête, les mains dans les poches. Tout le paysage m'ennuyait. Les arbres se ressemblaient tous, le ciel était bleu et le soleil brillait comme tous les jours. Rien était nouveau, pas même les gens. Parfaitement coiffés, les cheveux d'une couleur abominablement normale, les yeux vides chez certains, heureux pour d'autres, les enfants insouciants emmitouflés dans leurs vêtements épais, le paysage qui pourrait être intéressant était une peinture qui reflétait un effroyable ennui, une horrible normalité. Et pourtant, il y avait une tâche dans le tableau, qui s'en détachait agréablement. C'était l'élément principal qui attirait tous les regards, qui faisait s'élever les rumeurs. Un magnifique rubis scintillant de sa propre lumière égaré au milieu de pierres laides et sans importance. Ce bijoux c'était toi, qu'il était impossible de pas remarquer. Tes longs cheveux ondulaient dans le vent, les légères boucles rouges rebondissant joliment. Ta démarche était gracieuse, je pouvait deviner que tes gestes étaient doux rien qu'à te regarder. Tes doigts étaient longs et fins, entremêlés les uns aux autres et pourtant, je me doutais que tu étais pianiste à la délicatesse de tes mains. Tes yeux prouvaient que tu n'étais pas d'ici. Un peu en amande, mais assez bridés pour que je trouve un métissage occidental et asiatique dans tes traits. Ils étaient d'une incroyable couleur bleue, je voulais m'y plonger. À peine cette pensée m’eut-elle traversée que nos regard se croisèrent et s'accrochèrent, mais à ton air, je doutais que tu ne t'en rende compte. Ils étaient semblables à des cristaux, tellement clairs, brillants et pétillants.. ils me scrutaient avec tellement de minutie, comme si tu lisais en moi, comme s'ils me transpercaient, que c'eut l'effet d'un couteau dans ma poitrine, un coup en plein cœur... et bientôt, ils lâchèrent les miens et mes pupilles suivirent la lignes de ton nez pour s'arrêter sur tes lèvres si roses, si tentantes, que je me surpris à vouloir embrasser. Je léchai doucement les miennes d'envie, mais tu ne me vis pas faire. Non, à cette instant, tes orbes bleues étaient posées sur un brun à tes côtés, à qui tu faisais les yeux doux en battant des cils. Tu rougissait à chacune de ses paroles, tu avais l'air tellement éprise. Tu étais pendue à ses lèvres, comme si chacun de ses mots était important. Il dit quelque chose que je n'entendis pas, mais tu rougis furieusement et le traitais d'imbécile en rouspétant. Tu étais tellement adorable que je lui en voulu. Je voyait bien qu'il ne montrait aucun d'intérêt pour toi. Pourtant, il avait le plus beau joyaux du monde qui ne demandait qu'à lui appartenir à portée de main, et il n'y faisait pas attention. Moi j'étais là, comme un imbécile, les joues rougies et le cœur battant à deux mille à l'heure. Je ne pouvais plus détacher mon regard de toi, je savais très bien quel sentiments venait de naître en ma personne. Un sentiment que je ne croyais pas aussi rapide... et pourtant, la seconde où tu avais attiré mon attention avait suffit à me rendre éperdument amoureux. Un coup de foudre ? Non. On ne pouvait pas appeler cela ainsi. C'est quelque chose qui naît d'une attirance, chez les êtres perspicaces, qui savent cerner, comme moi, la personnalité d'une personne juste en la voyant.
Et pourtant, tu disparaissais déjà. Je fermais les yeux. Je savais que j'allais te revoir, c’était une intuition qui ne me quittait pas. Mais te parlerai-je un jour ? Je n'en avais la certitude. Alors j'allais t'oublier. Je scellais ce moment dans ma mémoire, j’effaçai ton visage. Je montais un mur invisible, je ne savais déjà plus qui était. Je ne saurais plus, je ne voulais pas me souvenir de toi. Et ce serait le cas, jusqu'à t'aimer trop fort, jusqu'à ce que mes défenses cèdent. Je priai pour que jamais tu ne m’adresse la parole tant que ton cœur battait pour ce bellâtre ignorant.

Notre première fois.

Tes doux cheveux rouges s'enroulent autour de mes doigts alors que je te serre contre moi. Nos lèvres se cherchent dans l'obscurité puis se trouvent enfin pour se sceller avec brutalité alors que ton corps se retrouve à nu sous le mien, pas plus couvert. J'ai craqué. Aujourd'hui, je sais que cette date restera gravée dans ma mémoire. Tout comme toi que je ne pourrais plus oublier.
14 juillet 2013.
Nos peau s'effleurent puis nos corps s'enflamment, se taquinant se découvrant. Ils attendent plus, veulent plus, mais la peur me serre le ventre. Je mémorise chacune de tes courbes, tes courbes que j'ai tellement désirées, je tente de me les représenter à défaut de pouvoir me délecter de cette exquise vision.
Je me demande ce que je fais. Toi qui n'à d'yeux que pour cet imbécile, pourquoi ne m'arrêtes-tu pas ? Je n'y arrive pas seul. Si seulement nous ne nous étions pas parlé, il y avait quelques jours... Si seulement j'avais pu conserver mes défenses, t'oublier pour de bon... Car maintenant que je te connaissais, que je pouvais définir ta personnalité avec certitude, mes sentiments étaient réels et tellement plus forts. Ce n’était plus l’amour naissant que j’avais ressenti au premier jour, mais de réels sentiments qui s’accrocheraient sûrement beaucoup plus forts.
Je sens tes jambes se resserrer autour de ma taille, nos corps se serrent et se fondent jusqu'à n'en faire plus qu'un, alors que je te blesse et te vole égoïstement ce que tu as de plus précieux. Ta voix s'élève dans la chambre noire dans une plainte de souffrance et je m'en veux de te faire mal. Mon cœur se serre quand l'odeur de tes larmes envahit mes narines, mais je ne montre rien. Je ne tiens pas à ce que tu devines que mon désir et mon amour sont communs et ne sont voués qu'à toi. J'essuie tes larmes et embrasse tendrement tes lèvres. Je ne dis rien, de peur que tu entendes la culpabilité dans ma voix qui t'aurait sûrement mis la puce à l'oreille. Tu respires profondément et m'assures que ça va. Tu m'intimes de te faire mienne pour te bon, de te donner ce plaisir qui, maintenant, est à porté de main. Bientôt, nos voix se mêlent et j'aimerais crier que je t'aime, à la place de quoi je gémis ton nom autant de fois que je le peux. Ta voix qui susurre le mien à mon oreille ou le crie entre les quatre murs me semble tellement mélodieuse, une douce symphonie que je m'interdis d'entendre même dans mes rêves. Nous partons visiter ce lieu inconnu ensemble, portés par cet amour illusoire et faux qui nous pousse à découvrir le plaisir charnel pour une nuit, mais tu m'en redemandes encore et encore. J'en ai tout autant envie que toi, je n'arrive pas à résister. Je ne compte plus le nombre de fois ou je t'ai emmené entrevoir ce paradis quelques instants mais ce que je sais, c'est que j'étais bien. Je ne sentais aimé. Durant une nuit, j'ai pu profiter de toi, te faire mienne, te dire silencieusement tous mes sentiments que tu n'as sûrement pas compris.
Ce n'est que lorsqu'on se sépare qu'un triste sourire étire mes lèvres. Nous n'étions rien, toi et moi. Deux êtres opposés que la nature n'avait pas fait pour s'entendre. Tu m'horripilais.
Peut être est-ce à cet instant que je me rend compte que non. Quand ces mots sonnèrent soudainement faux dans ma tête. La vérité me sauta aux yeux. Ce n'est qu'une barrière. Je me suis forcé à te détester pour ne pas te vouloir.
Ta respiration se fait régulière, je te serre contre moi et embrasse doucement tes lèvres alors que dors déjà. Je t'observe un instant, l'air apaisé. Tout devient clair dans ma tête.
Je t'aime. Que je le veuille ou non. Je ne peux pas contrôler ça, je dois l'accepter. Au moins cette nuit, l'illusion des sentiments me fait sourire.
Alors je m'endors dans tes bras, heureux pour la première fois depuis cinq ans.

Voilà. Je t'aime. C'est tout.

~Ciel.

e... Je vais pleurer ;w; ... C'est trop mignon !!! Fais moi un câlin et je t'en supplies... FAIS EN D'AUTRE ;n; c'est trop chou ;u; *applaudit et fait applaudir Claudia* JE T'AIME AUSSI ღღ and .... Happy Birthday ! ;w;

Je suis heureux que ça te"plaise"... *lui fait un câlin* T'inquiète pas mon coeur, deux autres sont prévus pour dans la journée. Happy Birthday a toi mon coeur. ♥

C'est vraiment magnifique ;_; *pleure et s'effondre par terre* Félicitation à vous 2 et happy birthday !

Merci :3 Je suis content que ça fasse un tel effet ^^Qu... !? Mais pourquoi tu pleure et t'effondres ?!

BECAUSE C'EST MAGNIFIQUE ;_; J'ai jamais vue une démonstration d'amour pareille ;;

Ah x) Merci ;w; C'est parce que je l'aime tellement que je suis capable de tout pour le lui prouver.

C'est super réussi en tout cas >w<

Merci ;u;

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