Sweet snow [PV: Ciel] /!\ Hentai /!\

Ciel sourit a la rousse et serra ses doigts.
-C'etait tres agreable, murmura-t-il lorsqu'il eut retrouvé l'usage de sa voix.
Il se tourna vers elle et l'embrassa amoureusement et furtivement... sous le regard assassin d'un certain photographe.
Ils repartirent se changer sous les ordres de Julien, le ton de celui ci enervant le brun au plus haut point.
Il enfila un jean noir, suivi d'un tee-shirt gris et d'une veste en jean noir... comme si cette tenue allait avec celle de la rousse avant. Il comprit que le marque de jean et de survetement etait la meme et se demanda alors comment en ressortirait la rousse.

On sentait que Julien etait tres irrité de decouvrir la relation qu'entretenaient les deux adolescents.
Lorsque ce contrat fut terminé, les jeunes eurent l'autorisation de rentrer chez eux.
Ils allerent se changer, Ciel extenué. Ils partirent ensemble, main dans la main, se baladant.
Soudain, le brun pensa a quelque chose.
-Dis... tu crois que Julien nous a entendu ?
Il vit un petit garcon passer en velo et il sourit. C'etait si mignon... il etait pareil lorsqu'il etait petit.

Il secoua la tete.
-Non parce que quand il te regarde on dirait un pédo mais moi... si un regard pouvait tuer il aurait eu l'effet d'une bombe nucleaire.
Il repensa a cet instant dans la loge, ou il avait etait heureux d'etre dans le corps de sa bien aimée, de la sentir si proche de lui.
-Apres peut etre qu'il comprendra que tu es a moi. Que je t'aime, que tu m'aime et que c'est comme ca.
Il lui sourit et s'arreta pour l'embrasser.

Jenna lui rendit son baiser folle amoureuse.
- j'espère pour lui du moins... Sinon il pourra attendre longtemps j'ai toujours peur qu'il me viole à vrai dire... Mais avec toi c'est différent il a vraiment envie de te tuer en fait je pense...
La rousse lui sourit avant d'emmêler ses doigts dans les cheveux bruns de Ciel.
- Je m'en fou tant que tu m'aimes tout va bien

Jenna lui sourit et lui rendit ses deux baisers avec tendresse sa main continuant de caresser sa nuque. La journée avait prit une tournure étrange mais elle était tellement bien que la rousse ne voulait pas que ça se termine.
- J'espère t'aimer aussi longtemps que tu m'aimeras...
Elle rembrassa son petit ami en se collant un peu plus contre lui. Elle était heureuse et pensait que ce satané photographe la laisserait enfin tranquille.

Ils se remirent a marcher. Une fois devant l'allee de Ciel, il se separerent.
-Aller, j'y vais.
Il l'embrassa furtivement et lui sourit.
-Tu ne quittes pas ton telephone des yeux c'est compris ?
Elle hocha la tete et il parti vers chez lui.
Il rentra, et s'affala magistralement sur son canapé.
Il attrapa son telephone et marqua a toute vitesse :
"Ca fait bizarre de se quitter..."
Il envoya et posa l'appareil par terre. Aux bout de dix minutes, il le reprit.
"Jenna ?"
Io recu l'accusé de reception, et pu donc ecarter le fait qu'elle n'avait plus de batterie. Peut etre n'avait elle pas entendu...

Au bout d'une vingtaine de minutes, Ciel voyant qu'elle ne repondait pas, se leva et mit son blouson pour aller la voir. Lorsqu'il fut arrivé devant chez elle, alors qu'il allait contourner la maison pour monter sur le balecon, il remarqua que le porte etait entrouverte sur le couloir sombre.
La peur l'envahi d'un coup. Il entra, redoutant ce qu'il allait trouver, mais pour l'instant, rien.
Puis des bruits de sanglots, de cris etouffés et de coups repetitifs semblant venir de l'etage parvinrent a ses oreilles.
Et ce fut la qu'il comprit.
Il monta les escaliers quatre a quatre, entra doucement dans la chambre noire de la rousse et se dirigea vers la presence qu'il sentait. Il sortit son couteu suisse toujours planqué dans sa poche et la plaqua contre la gorge de l'homme qu'il presuma etre Julien.
-Lache la... siffla-t-il.
Le violeur s'executa et recula, laissant la jeune fille libre de ses mouvement.
-Tes bras derriere ton dos.
Il ne fit rien.
-Derriere ton dos j'ai dis !
Il obeit tandis que Ciel attrappait une ceinture de la jeune fille pour attacher solidement les poignets du photographe. Il rangea son couteau et se precipita vers sa petite amie, a genoux par terre, en pleures. Il la prit dans ses bras et elle se debati, mais il passa ses mains dans les cheveux rouges en embrassant son front.
-Chuuut, c'est moi... Rien que moi...
Il la serra fort contre lui, caressant son dos.
Il se saisit de son telephone et composa le numero de la police.
-Oui bonjour, je vous appelle pour signaler un viol...
Il fournit tous les elementd necessaires et raccrocha, sa petite amie pleurant toujours. Il retira sa vesta, en couvrit la rousse en attendant, la serrant toujours contre lui dans l'espoir qu'elle se calme.

-C'est normal voyons !
Il la serra plus fort contre lui, enfuoissant son visage dans les cheveux de la jeune femme.
Il entendit des bruits de talons qui monterent a l'etage. La personne passa devant la porte et continua son chemin, alerté par les sanglot de la jeune femme et les gemissement de douleur de Julien qui avait une sale coupure a la gorge.
La porte s'ouvrit et la lumiere s'alluma, revelant une rousse aux yeux verts habillée d'un tailleur tres chic.
Ce fut les yeux ecarquillés que madame Kuragana se rendit compte que Julien n'etait au final absolument pas frequentable.

Ciel la serra contre lui.
-C'est normal, madame...
Il la releva, la fit asseoir sur le lit et s'assit a coté, la serrant toujours dans ses bras.
-C'est rien... ce pervers va regretter ce qu'il a fait...
Ses larmes redoublerent, ses sanglots etouffés par le torse du brun.
-Voila, pleure un bon coup...
Il caressa affectueusement son dos. Il fixa le photographe furieusement. Tant qu'il le hit fremir. On sentait qu'il aurait aimé se venger lui meme. Mais il etait raisonnable.
Des sirenes retentirent et des policiers entrerent peu apres. Il embarquerent le photographe, mais un resta sur les lieu. Ils n'etaient plus que trois, la seconde rousse ayant suivi Julien pour lui balancer ses quatre verités.
-Comme elle est en etat de choc, dit l'officier en designant le corps tremblant et recroquevillé contre Ciel, je m'adresse a vous. Elle peut porter plainte si elle le souhaite, et quoiqu'il en soit, un proces aura lieu. Ca risque de beaucoup la traumatiser,. je vous conseille donc de l'emmener voir un psychologue si son etat mental ne s'ameliore pas d'ici une a deux semaines. Evitez de la laisser seule afin d'eviter les crises d'angoisse, car elle pourrait developper une phobie de la solitude et peut etre meme aux hommes inconnus.
Il fit un sourire bienveillant au brun qui hocha la tete.
-Sur ce.
Et il parti.
-Je ne te laisserais jamais seule... Jamais.